Gérardmer

Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.
Aller à : Navigation, rechercher

48° 04′ 23″ N 6° 52′ 46″ E / 48.073055555555, 6.879444444444

Gérardmer
Ville et lac vus de la Tour de Mérelle
Ville et lac vus de la Tour de Mérelle
Armoiries
Détail
Administration
Pays France
Région Lorraine
Département Vosges
Arrondissement Saint-Dié-des-Vosges
Canton Gérardmer (Chef-lieu)
Code commune 88196
Code postal 88400
Maire
Mandat en cours
Jean-Paul Lambert
2008-2014
Intercommunalité Communauté de communes des Lacs et des Hauts Rupts
Site web www.ville-gerardmer.fr
Démographie
Population 8 776 hab. (2006)
Densité 160 hab./km²
Gentilé Gérômois(es)
Géographie
Coordonnées 48° 04′ 23″ Nord
       6° 52′ 46″ Est
/ 48.073055555555, 6.879444444444
Altitudes mini. 584 m — maxi. 1137 m
Superficie 54,78 km2

Voir la carte physique

Voir la carte administrative

Gérardmer [ʒeʁaʁme][1] est une commune française, située dans le département des Vosges et la région Lorraine. La ville est le chef-lieu de son propre canton situé dans l'arrondissement de Saint-Dié-des-Vosges. Sa population de 8 845 habitants, 9 573 avec les doubles comptes, en fait la troisième ville du département.

Elle doit son surnom de « Perle des Vosges » à Alfred Hugo, frère de Victor.[réf. souhaitée]

Ses habitants sont appelés les Géromois ou les Gérômois.

Sommaire

[modifier] Géographie

[modifier] Localisation

Gérardmer se situe au cœur du massif des Vosges, au bord du lac éponyme, à une altitude moyenne de 670 m.

La situation de Gérardmer a favorisé très tôt la pratique du ski. Aujourd'hui, la station de ski alpin se situe à La Mauselaine et le ski de fond se pratique depuis le domaine nordique des Bas Rupts.

La commune comprend de grands espaces boisés, dont certains sont des domaines skiables, au total 3 721 ha de forêts de résineux (plus de cinq millions de sapins et d'épineux).

[modifier] Communes limitrophes

Gérardmer est bordé à l'est par Xonrupt-Longemer, au sud par La Bresse, Rochesson et Sapois, à l'ouest par Le Tholy et Liézey, et au nord par Granges-sur-Vologne, Barbey-Seroux, Arrentès-de-Corcieux et Gerbépal.

Localisation dans le département des Vosges
Communes limitrophes de Gérardmer
Barbey-Seroux
Granges-sur-Vologne
Arrentès-de-Corcieux Gerbépal
Liézey
Le Tholy
Gérardmer Xonrupt-Longemer
Sapois Rochesson La Bresse

Quelques villes aux alentours, avec distances à vol d'oiseau :

[modifier] Géologie et relief

L'altitude la plus basse de la commune, 584 m, voit la Vologne s'écouler en direction de Granges. Le point le plus élevé est la Tête de Grouvelin qui culmine à 1 137 m et surplombe le lac de Lispach de La Bresse.

[modifier] Hydrographie

[modifier] Climat

Article détaillé : Climat des Vosges.

Tout comme le reste du département des Vosges, le climat de la ville y est de type continental. Tandis que les automnes et les hivers sont froids voire extrêmements rudes (jusqu’à -40°C la nuit), les étés sont relativement chauds avec des orages qui peuvent être fréquents.

Le tableau ci-dessous indique quelques moyennes météorologiques mensuelles.

Mois Janv Fév Mars Avr Mai Juin Juil Août Sept Oct Nov Déc
Températures maximales moyennes (°C) 4 6 12 15 20 23 26 26 21 16 8 6
Températures minimales moyennes (°C) -1 -1 2 5 9 12 14 14 10 7 2 1
Moyennes des précipitations (en mm) 25.5 18.9 22.5 29.4 42.7 39.6 45.1 34.4 38.5 43.2 29.7 25.0
Sources : MSN-Méteo[2]

[modifier] Toponymie

Le toponyme est attesté sous les formes[3],[4],[5]:

  • Giraulmeix, 1569
  • Giraulmer, 1571
  • Giraumeix, 1580
  • Gerentsee, 1580
  • Gerolt See, 1588
  • Giradmer, 1594
  • Girardmer, 1596
  • Giraumey ou Girarmer, 1656
  • Jerosmé, 1663
  • Gérarmer, Gerardi Mare, 1768
  • Gérardmer, appelé vulgairement Giraumeix, 1779

Les formes anciennes antérieures à celle de 1565 semblent montrer qu'il s'agit en réalité du nom de personne Giraud, variante de Géraud[3],[4]. La forme allemande implique d'ailleurs le même anthroponyme. En effet, le nom de personne d'origine germanique Gerwald a donné Géraud en français et Gerold en allemand. La confusion avec le nom de personne Gérard s'est effectuée à la fin du XVIe siècle. On retrouve ce nom de Géraud dans Gérauvilliers (Meuse, Girauviller 1338).

En ce qui concerne l'appellatif utilisé comme second élément, il est fréquent d'entendre deux prononciations, même parmi des populations vosgiennes : [ʒeʁaʁmɛːʁ] ou [ʒeʁaʁme][6]. L'étymologie et l'histoire dialectale ne justifient que la seconde prononciation pour les habitations et le centre ancien. En dialecte des hautes vallées, signifie « mer », et moué signifie « maison avec champ cultivé ». D'une manière générale, en dialecte vosgien, l'origine peut-être germanique ou latine:

Or, les habitants de la vallée, lorsqu'ils désignent les lacs, disent :

Mais ils prononcent « Girômoué » pour Gérardmer, suivi en cette différence de prononciation par la majorité des anciens dialectophones de la montagne vosgienne : « girômé, giromé, djiraumé ».... suivant des graphies non fixées. Ainsi, les habitants de Gérardmer ont pris habitude de traduire « Gérardmer » en « jardin de Gérard », car meix / mé / moué a fini par désigner au sens dialectal restreint « un grand jardin ou un champ où une variété de plantes est cultivée »[9].

[modifier] Histoire

Les avis des historiens divergent concernant l'anthroponyme Gérard. En effet, la première forme écrite n'est attestée que dans la première mention de ce domaine habité dans des documents écrits officiels en 1285, dans un acte du Duc Ferry III de Lorraine créant une "ville neuve" sur le territoire des "lieux-dits de Géramer et Longe-mer"[10]. Mais une hypothèse couramment formulée consiste à rattacher l'anthroponyme Gérard à Gérard Ier de Lorraine, une hypothèse reprise souvent par les Gérômois eux-mêmes[11]. Pourtant, les historiens lorrains, depuis la fin du XIXe siècle n'accordent que peu de crédit à cette interprétation [12], [13], [14], [15]. En premier lieu parce que l'acte de Ferry III est signé presque 240 ans après que Gérard Ier n'accède au titre de Duc de Lorraine. Ensuite, comme le montre la toponymie, parce qu'une transformation d'une forme très ancienne de Gérald a pu se produire en "Gérard" sans pour autant renvoyer d'emblée à une personnalité historique.. Par ailleurs, si, en l'absence de documents écrits, certains érudits locaux[16] ont tout de même fait écho à l'opinion commune et ont maintenu cette relation entre Gérard Ier de Lorraine et la toponymie gérômoise, il reste que les sources archéologiques et écrites sont nettement insuffisantes et que, comme le montre Christophe Masutti dans une synthèse générale [17], la référence à l'anthroponyme Gérard relèverait davantage au patronage de Saint Gérard (Gérard de Toul), étant donné le double patronage historiquement attesté de la ville à Saint Gérard et Saint Barthélémy (le second a prévalu dans un passé récent)[15] [13].

Le Pont des Fées

[modifier] Création de la commune

Vraisemblablement, la première mention de Gérardmer remonterait à 1285 dans un acte de cession de terres de Ferry III, duc de Lorraine, à Conrad Wernher, sire de Hadstatt[10].

L'histoire ancienne de Gérardmer est liée au duché de Lorraine et à l'abbaye des chanoinesses de Remiremont qui gouvernent longtemps les lieux. Gérardmer, communauté vivante et animée par un marché annuel de beurre et fromage, demeure longtemps un écart de la grande paroisse Saint-Jacques-du-Stat, puis de celle de Corcieux avant d'acquérir son autonomie à l'époque classique. C'est en 1540 que la ville est érigée en paroisse ; elle compte alors intra muros environ 150 habitants.

En 1751, Gérardmer fait partie du bailliage de Remiremont et en 1790, devient chef-lieu de canton du district de Bruyères.

Une ère nouvelle a coïncidé avec l'arrivée du chemin de fer, le tourisme s'ouvrant alors notamment aux Parisiens et aux bourgeois fortunés de Lorraine. L'annexion de l'Alsace-Lorraine par l'Allemagne voit aussi l'arrivée d'industriels alsaciens qui ont participé à l'essor de l'industrie textile. La seconde Guerre mondiale a eu des conséquences plus négatives avec son lot de destructions.

C'est à Gérardmer que le premier office de tourisme de France fut créé, en 1875. Le surnom de « Perle des Vosges » aide à rendre populaire la station, que les Parisiens notamment gagnent par le train.

[modifier] Gérardmer au début du XXe siècle

Proche de la frontière depuis l'annexion de l'Alsace par les Allemands en 1871, Gérardmer devient une ville de garnison à partir de 1905 ; une caserne est construite (quartier Kléber) pour y loger le 152e régiment d'infanterie.

[modifier] Gérardmer et la Seconde Guerre mondiale

Gérardmer est prise le 22 juin 1940 par l'armée allemande. C'est au cours de ces combats que l'église de la ville sera détruite par incendie lors de l'explosion d'un camion (de munitions ou d'essence?) stationné à côté. Le 17 novembre 1944, des incendies se déclarent un peu partout et des dynamitages sont effectués. Le soir, tout Gérardmer brûle, la ville est recouverte d'un épais nuage noir. Ce qui ne brûle pas explose. Les réservoirs d'eau de la ville sont détruits, comme le transformateur électrique. Il n'y a donc plus d'électricité, ni d'eau courante à Gérardmer. La kommandantur quitte la ville dans la soirée, suivant ainsi le général Schiel et son état-major, partis dans la nuit du 15 au 16 novembre. Le matin du 18 du même mois, un groupe de choc sillonne Gérardmer, armes automatiques au poing. Et d'autres éléments mettent le feu dans les maisons qui n'ont pas encore été assez détruites.

L'après-midi, plus aucun soldat allemand n'est présent à Gérardmer. Les civils circulent librement et constatent les dégâts opérés par si peu d'hommes et en si peu de temps. Le 19 novembre 1944, Gérardmer n'est plus qu'un amas de ruines fumantes. Et vers 14 heures, ce sont les premiers soldats français qui arrivent et se rendent à l'hôtel de ville. 85% de la ville est détruit lors de la fuite allemande.

[modifier] Politique et administration

[modifier] Tendances politiques et résultats

[modifier] Administration municipale

[modifier] Liste des maires

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
1997 en cours Jean-Paul Lambert PS  
1989 1997 Claude Boulay PCF Conseiller général (1979-1985)
1983 1989 Pierre Cuny []  
1977 1983 Suzanne Rattaire SE  
1965 1977 Gérard Gille (1922-2007) PCF Employé textile
  1965 Camille Méline SE  
1935 1945 Paul Boucher (1884-1973)    
1929 1935 Paul Jacques   Hôtelier
Toutes les données ne sont pas encore connues.

[modifier] Canton

Le canton de Gérardmer compte trois communes : Gérardmer, Liézey, et Xonrupt-Longemer.

Créée le 1er janvier 2004, une communauté de communes (des Lacs et des Hauts Rupts) associe les trois du canton aux communes voisines de Rehaupal et du Tholy pour un total de 12 398 habitants.

[modifier] Instances judiciaires et administratives

[modifier] Politique environnementale

Trois fleurs a été attribuées par le Conseil National des Villes et Villages Fleuris de France au Concours des villes et villages fleuris.

[modifier] Jumelages

Gérardmer est jumelée avec :

[modifier] Population et société

[modifier] Démographie

[modifier] Évolution démographique

En 2008, Gérardmer comptait 8 700 habitants (soit une diminution de 1 % par rapport à 1999). La commune occupait le 1 081e rang au niveau national, alors qu'elle était au 1 017e en 1999, et le 3e au niveau départemental sur 515 communes.

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués à Gérardmer depuis 1793.

Au début du XXIe siècle, les modalités de recensement ont été modifiées par loi du 27 février 2002, dite loi de démocratie de proximité [18], afin de permettre, après une période transitoire courant de 2004 à 2008, la publication annuelle de la population légale des différentes circonscriptions administratives françaises.

Pour les communes dont la population est inférieure à 10 000 habitants, les enquêtes sont exhaustives et ont lieu chaque année par roulement au cours d'une période de cinq ans [19]. Pour Gérardmer, le premier recensement a été fait en 2008[20], les suivants étant en 2013, 2018, etc. La première population légale postérieure à celle de 1999 et s’inscrivant dans ce nouveau dispositif est entrée en vigueur au 1e janvier 2009 et correspond au recensement de l’année 2006, qui, pour Gérardmer, est une évaluation intermédiaire[21]. Le maximum de la population a été atteint en 1911 avec 10 421 habitants.

1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
3 934 4 285 4 601 4 973 5 701 5 690 5 625 5 814 -
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
5 640 5 921 6 225 6 402 6 543 6 775 6 914 7 197 8 811
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
9 104 10 041 10 421 7 243 7 577 8 512 9 312 5 784 8 218
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2008 -
8 970 9 326 9 471 9 106 8 951 8 830 8 776 8 700 -
Sources : base Cassini de l'EHESS pour les nombres retenus jusqu'en 1962[22], base Insee à partir de 1968 (population sans doubles comptes puis population municipale à partir de 2006)[23],[24]

[modifier] Pyramide des âges

La population de la commune est relativement âgée. Le taux de personnes d'un âge supérieur à 60 ans (27 %) est en effet supérieur au taux national (21,6 %) et au taux départemental (23,7 %). À l'instar des répartitions nationale et départementale, la population féminine de la commune est supérieure à la population masculine. Le taux (51,5 %) est du même ordre de grandeur que le taux national (51,6 %).

La répartition de la population de la commune par tranches d'âge est, en 2007, la suivante :

Pyramide des âges à Gérardmer en 2007 en pourcentage[25]
Hommes Classe d'âge Femmes
0,4 
90  ans ou +
1,4 
7,6 
75 à 89 ans
12,6 
14,8 
60 à 74 ans
17,0 
23,5 
45 à 59 ans
21,9 
18,2 
30 à 44 ans
17,6 
19,7 
15 à 29 ans
15,4 
15,8 
0 à 14 ans
14,2 
Pyramide des âges du département des Vosges en 2007 en pourcentage[26]
Hommes Classe d'âge Femmes
0,4 
90  ans ou +
1,3 
6,4 
75 à 89 ans
10,8 
13,7 
60 à 74 ans
14,8 
22,1 
45 à 59 ans
21,1 
20,5 
30 à 44 ans
19,1 
18,2 
15 à 29 ans
15,8 
18,8 
0 à 14 ans
17,1 

[modifier] Enseignement

Collège et lycée La Haie-Griselle 
La cité scolaire de la Haie Griselle est située à flanc de coteau à environ 700 m d'altitude. C'est en 1949 que Monsieur Guitton, architecte en chef des bâtiments civils est nommé architecte en chef du Lycée climatique de Gérardmer. Les premiers travaux commencent en 1951 et, à la rentrée de Pâques 1954, quatre classes sont logées dans le nouveau bâtiment. Le lycée ouvre ses portes à toutes les classes à la rentrée de septembre 1954. Deux ans plus tard, 80 « pionniers » prennent possession de l'internat de la Haie Griselle. Le bâtiment cuisine-réfectoire est achevé en 1957, suivi de peu par le plateau d'éducation physique et les autres bâtiments en 1958-1959. Dans les années 1970, le lycée fait place à deux entités administratives, le lycée et le collège, mais préserve sa vocation de cité scolaire, avec des équipes administratives et éducatives communes. Depuis 1995, un nouveau bâtiment remplace les antiques préfabriqués, à l'usage des lycéens. En l'an 1999, s'achèvent également l'extension du restaurant scolaire et la restructuration de la cuisine. Le Lycée-Collège « La Haie-Griselle » est désormais destiné à un enseignement général délivrant des baccalauréats généraux (S, ES et L) et dispose notamment de sections sportives, dont la réputée section ski-étude.
Lycée hôtelier 
Le lycée des métiers de l'hôtellerie et de la restauration a été ouvert en 1942, comprenant initialement des sections habillement et commerce. La section cuisine date de 1956, les sections restaurant et pâtisserie de 1962 et 1971. L'établissement a été baptisé Jean-Baptiste-Siméon Chardin en 2006.
CFA Papetier 
Un Centre de formation d'apprentis papetiers a été créé au cœur de la première région papetière de France (une trentaine de sites industriels dans le grand Est de la France). Les formations proposées sont de niveau IV (niveau baccalauréat professionnel : BacPro papetier) et de niveau III (BTS des industries papetières et un CQP de maintenance en papeterie).

[modifier] Manifestations culturelles et festivités

Lors de la 44ème fête des jonquilles

[modifier] Santé

[modifier] Sports

[modifier] Domaine skiable

Station de ski alpin La Mauselaine 
Avec 40 km de pistes de ski alpin (20 pistes) et 20 remontées mécaniques (dont 2 télésièges), Gérardmer possède le deuxième domaine skiable du massif des Vosges. On peut y pratiquer le ski nocturne et son équipement en canons à neige permet d'assurer la pratique du ski en cas de saison délicate. Depuis 2008, la station est gérée par une régie municipale.
Station de ski nordique Les Bas Rupts 
Gérardmer possède un très beau domaine de ski nordique. Interconnecté avec les domaines de Xonrupt-Longemer et de La Bresse, il propose plus de 100 km de pistes (alternatif et skating). Le domaine nordique est géré par une régie municipale.
Tremplin de saut à skis 
Un tremplin de 65 mètres équipe désormais la station des Bas Rupts. Permettant l'entraînement et les compétitions en été, il a été inauguré le 20 août 2010.

La ville possède l'Institut de la promotion de la Montagne (IPM) de la Chambre de commerce et d'industrie des Vosges.

La ville a su tirer parti de son cadre atypique, mais est également animée d'un esprit associatif et touristique lui permettant d'organiser de nombreux événements.

[modifier] Associations sportives

[modifier] Médias

[modifier] Cultes

[modifier] Économie

[modifier] Principaux secteurs

[modifier] Emploi

[modifier] Entreprises et commerces

[modifier] Culture locale et patrimoine

[modifier] Lieux culturels

[modifier] Théâtre

Avec trois compagnies théâtrales pour 9000 habitants, Gérardmer est une ville qui aime le théâtre :

[modifier] Cinéma

[modifier] Littérature

[modifier] Musique

[modifier] Monuments et lieux touristiques

L'église Saint-Barthélémy

[modifier] Personnalités liées à la commune

[modifier] Gastronomie et botanique

Cueillette des jonquilles aux Bas Rupts

[modifier] Héraldique

Blason Blasonnement
De gueules au cerf passant d'argent sur une terrasse de même.
Commentaires : Ces armes reproduisent un sceau utilisé en 1768 représentant un cerf. Le symbole était déjà utilisé par la communauté gérômoise au XVIIe siècle. Ce blason orne aujourd'hui la mairie de Gérardmer et les plaques des rues.

[modifier] Voir aussi

[modifier] Bibliographie

[modifier] Liens externes

Sur les autres projets Wikimédia :

[modifier] Notes et références

  1. Jean-Marie Pierret, Phonétique historique du français et notions de phonétique générale, Peeters, Louvain-la-Neuve, 1994, p. 104.
  2. Moyennes météorologiques mensuelles et annuelles pour Gérardmer, Vosges (88400) sur MSN-Méteo. Consulté le 1 novembre 2010
  3. a et b Albert Dauzat et Charles Rostaing, Dictionnaire étymologique des noms de lieux en France, Librairie Guénégaud 1979. p. 316.
  4. a, b et c Ernest Nègre, Toponymie générale de la France, Vol. II. Librairie Droz 1991. p. 967.
  5. Paul Marichal, Dictionnaire topographique du département des Vosges, comprenant les noms de lieux anciens et modernes, Paris : Imprimerie nationale, 1941.
  6. Jean-Marie Pierret, op. cit., p. 102-104.
  7. English Etymology, T. F. Hoad, Oxford University Press
  8. Das Herkunftswörterbuch, Duden Band 7, Dudenverlag.
  9. Voir sur le site de la mairie de Gérardmer : "Le nom de la ville provient du premier Duc héréditaire de Lorraine, Gérard d'Alsace (1048 - 1070). Il fit du site son rendez-vous de chasse et de pêche." Où le sens du "jardin" renvoie plutôt à celui de propriété.
  10. a et b Henri Lepage, "Notice Historique et Descriptive de Gérardmer", in : Annales de la société d’émulation du département des Vosges, 1877, pp.130-232.
  11. Voir le site de la municipalité de Gérardmer.
  12. Alban Fournier, "Sur la manière dont on a écrit les noms de lieux vosgiens depuis leur origines jusqu’à nos jours", extrait du Bulletin de la Société de Géographie de l'Est, Nancy, 1890.
  13. a et b Alban Fournier, "Topographie ancienne du département des Vosges", in : Annales de la société d’émulation du département des Vosges, 1896, pp. 11-204.
  14. Louis Géhin, "Gérardmer à travers les âges. Histoire complète de Gérardmer depuis ses origines jusqu’au commencement du XIXe siècle", in: Bulletin de la société philomatique vosgienne, Saint Dié : Impr. Hubert, 1893.
  15. a et b Henri Lepage "Notice Historique et Descriptive de Gérardmer", in : Annales de la société d’émulation du département des Vosges, 1877, pp.130-232.
  16. Voir par exemple Marc Georgel, La vie rurale et le folklore dans le canton de Gérardmer, Loos, 1958
  17. http://cmasutti.toile-libre.org/gerardmer/gerardmer.pdf Christophe Masutti, "Contribution à l'incertitude générale sur les origines du nom de Gérardmer"
  18. Loi no 2002-276 du 27 février 2002 relative à la démocratie de proximité et notamment le titre V "des opérations de recensement".
  19. INSEE : Les grandes étapes : 2002 – 2009
  20. Calendrier des recensements des communes du département des Vosges sur www.insee.fr, Insee. Consulté le 19 août 2011
  21. Par convention dans Wikipédia, et afin de permettre une comparaison correcte entre des recensements espacés d’une période de 5 ans, le principe a été retenu, pour les populations légales postérieures à 1999 d’afficher dans le tableau des recensements : la population 2006, première population légale connue post-1999, les populations légales suivantes correspondant aux années réelles de recensement et enfin la dernière population légale publiée par l’INSEE. Dans le graphique sont par contre représentés l’ensemble des populations légales publiées
  22. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur site de l'École des hautes études en sciences sociales. Consulté le 19 août 2011
  23. Évolution et structure de la population (de 1968 à 2007) sur Insee. Consulté le 19 août 2011
  24. Recensement de la population au 1er janvier 2008 sur Insee. Consulté le 19 août 2011
  25. Évolution et structure de la population à Gérardmer en 2007 sur le site de l'Insee. Consulté le 31 octobre 2010
  26. Résultats du recensement de la population des Vosges en 2007 sur le site de l'Insee. Consulté le 31 octobre 2010
  27. Site officiel du Triathlon de Gérardmer
  28. La Fête de l'Excellence à Gérardmer en 2009
  29. Liste détaillée sur Gérardmer, capitale du linge de maison
  30. Le site officiel de Fantastic'arts
  31. Présentation des rencontres sur le site officiel des Rencontres du cinéma
  32. Site officiel du groupe Headust
  33. Association d’Étude pour la Coordination des Activités Musicales (ASSECARM), , Orgues Lorraine Vosges, Metz, Éditions Serpenoise, 1991, 677 p. (ISBN 2-87692-093-X).
    Présentation de l'orgue de la commune : pages 307 à 315
     
Ce document provient de « http://fr.wikipedia.org/wiki/G%C3%A9rardmer ».
Outils personnels
Espaces de noms
Variantes
Actions
Navigation
Contribuer
Imprimer / exporter
Boîte à outils
Autres langues