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Présidentielle : A droite on nous joue « Le Bon, La Brute et le Truand » Libre choix pour la répartition des rôles !

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Le Feuilleton :

La loyauté de François Fillon vis-à-vis de M. Sarkozy discutée au sein de la majorité

LEMONDE.FR | 04.04.11 | 19h40  •  Mis à jour le 04.04.11 | 20h13

Jean-François Copé, patron de l’UMP et François Fillon, premier ministre (novembre 2010) AFP/JOEL SAGET

« L’incident est clos », affirmait le 29 mars François Fillon ; « l’heure est maintenant à l’apaisement », poursuivait le même jour Jean-François Copé… Après une longue cacophonie, le premier ministre et le secrétaire général de l’UMP, qui s’étaient heurtés violemment quant à la nécessité d’un débat sur la laïcité et au sujet de la consigne de vote dans l’entre-deux-tours des élections cantonales, étaient à l’unisson, à quelques jours du 1er avril. Mais cette accalmie, exigée par le chef de l’Etat, n’a pas tenu le week-end.

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