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(2) Du barouf dans le 7ème ! Projection à l’AGORA Guy HERMIER : La méthode Ken Loach Web-documentaire interactif à guichet fermé !

(2) Du barouf dans le 7ème ! Projection à l’AGORA Guy HERMIER : La méthode Ken Loach Web-documentaire interactif à guichet fermé !

Emmanuel Roy
Emmanuel Roy

Avec Audrey GARINO j’ai été heureux d’accueillir l’association « MOCCO » dans les locaux de l’AGORA Guy HERMIER.

Après la projection du documentaire sur Ken Loach, l’échange avec l’auteur, Emmanuel Roy, nous a permis de découvrir l’engagement social du cinéaste.

Christian PELLICANI

 Biographie de Kenneth « Ken » Loach : né le 17 juin 1936 à Nuneaton (Warwickshire), est un réalisateur britannique de cinéma et de télévision.

Il ouvre la voie, d’abord à la télévision, puis dans les salles, au renouveau des années 1980 et 1990 du cinéma britannique qui a notamment révélé Mike Leigh et Stephen Frears.

Son style naturaliste s’axe sur une étude sans concession de la misère en Grande-Bretagne, des tares socio-familiales et du ravage des politiques publiques (Riff-Raff, Raining Stones, Ladybird, Carla’s Song, Sweet Sixteen, Moi, Daniel Blake). Il explore également les heures sombres de l’histoire outre-Manche (Secret défense, Land and Freedom, Le Vent se lève, Route Irish). Son œuvre, très militante, laisse entrevoir son engagement à gauche dans les conflits sociaux et la lutte pour le droit des travailleurs ou des immigrés clandestins (Les Dockers de Liverpool, Bread and Roses, The Navigators, It’s a Free World!…)2. Son radicalisme politique, ses sympathies marxistes et ses prises de position publiques ont souvent déclenché la polémique au Royaume-Uni.

En 2006, il reçoit la Palme d’or du 59e Festival de Cannes pour Le Vent se lève. En 2016, il obtient de nouveau cette récompense pour Moi, Daniel Blake et devient le huitième cinéaste à être doublement palmé après Francis Ford Coppola, Shōhei Imamura, Emir Kusturica, Bille August, les frères Dardenne et Michael Haneke.mocco

Sur 13 sélections, ses films cumulent sept prix cannois, ce qui en fait l’un des cinéastes les plus récompensés de l’histoire du festival avec, outre les deux palmes, trois Prix du jury (Secret défense, Raining Stones, La Part des anges), un Prix d’interprétation masculine (pour Peter Mullan dans My Name Is Joe) et un Prix du scénario (pour son scénariste attitré Paul Laverty grâce à Sweet Sixteen).

 

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